L’escrime militaire au début du XIXème siècle, de A. MULLER
J’ai le plaisir de vous présenter une nouvelle collection indispensable à tous les passionnés de reconstitution et aux amateurs des techniques militaires enseignées autrefois.
A la demande du maréchal Victor, Alexandre Muller, officier sous le Premier Empire, a conçu plusieurs manuels d’instruction en élaborant toute une série de leçons et d’exercices afin d’améliorer la technique individuelle des combattants.
Ces ouvrages qui n’ont pas été publiés depuis le XIXème siècle, sont enrichis et commentés par Philippe Charlet et Jean-Jacques Pattyn.
Le premier volume est consacré au maniement de la baïonnette ; le second au maniement du sabre de cavalerie.
En rééditant les ordonnances de Muller nous poursuivons deux buts :
= mettre à la portée du plus grand nombre des documents devenus quasiment inaccessibles,
= permettre aux groupes de reconstitutions historiques et uniformologiques, de plus en plus nombreux pour la période du Premier Empire, d’affiner leur formation au maniement des armes.
Pour l’infanterie il n’y a pas que la charge du fusil en douze temps, dans l’école du soldat.
Le maniement de la baïonnette est tout aussi important au combat.
Pour la cavalerie ne parlons pas de l’importance du bon maniement du sabre !
Nous espérons donc, par ces deux publications, avoir fait œuvre utile.
J’ai le plaisir de vous présenter une nouvelle collection indispensable à tous les passionnés de reconstitution et aux amateurs des techniques militaires enseignées autrefois.
Manuels d’instruction :
Volume 1 : La Baïonnette et son Maniement
Volume 2 : Le sabre et l’escrime du cavalier
L’escrime militaire au début du XIXème siècle
Ces ouvrages qui n’ont pas été publiés depuis le XIXème siècle, sont enrichis et commentés par Philippe Charlet et Jean-Jacques Pattyn.
Le premier volume est consacré au maniement de la baïonnette ; le second au maniement du sabre de cavalerie.
En rééditant les ordonnances de Muller nous poursuivons deux buts :
= mettre à la portée du plus grand nombre des documents devenus quasiment inaccessibles,
= permettre aux groupes de reconstitutions historiques et uniformologiques, de plus en plus nombreux pour la période du Premier Empire, d’affiner leur formation au maniement des armes.
Pour l’infanterie il n’y a pas que la charge du fusil en douze temps, dans l’école du soldat.
Le maniement de la baïonnette est tout aussi important au combat.
Pour la cavalerie ne parlons pas de l’importance du bon maniement du sabre !
Nous espérons donc, par ces deux publications, avoir fait œuvre utile.
Ph. Ch. & J.J. P.
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